







(On continue dans les films cultes)
Donc, voilà, mardi dernier, séance tap tap pour la section rythmique, "la dameuse" pour les intimes. Pas mal de taf sur les nouvelles démos enrichies au Gibolin et à la double pédale. On y a peut-être été un peu fort sur la vitesse, car pour le moment, il va falloir investir non pas dans une nouvelle double, mais dans des mollets bioniques (modèle "Mario Duplantier") pour Stef.
Enfin bon, on avance sur des mises en place de nouveaux morceaux, afin d'être opérationnels rapidos en répète.
Le lendemain, Nico et moi (Guillaume a eu un empèchement), on a commencé un nouveau titre sur la base de 2 démos que Nico avaient réunies, je récapitule pour les distraits au fond : "A cry"+ "Hang"= "Cryhang". Objectif : burner le tout, mette du rythme tout en gardant les accords ouverts tout mignons tout jolis. Bon, on a eu que 2 heures (parce que ptite séance photo avant... surprise !), mais on a bien bossé en posant de bonnes bases bien "riff métôl" dans l'esprit. Du tout bon ! Nouveau nom : "Big Nothing"
Stay Tuned !
Nous, les gens, nous sommes en train d'adapter ce modèle à l'art et à la musique. Alors : bon appétit.
Le nouvel album de ce groupe mythique. 3e livraison du renouveau trash du gang à géométrie variable Dave Mustaine. 2 écoutes au compteurs, et légère déception pour le moment, je trouve que l'album envoie beaucoup, des riffs en veux-tu en voilà, des solos (une cinquantaine au total !) à gogo, de la double de partout... mais pas des masses de mélodies, je lui préfère encore ses 2 prédécesseurs. Néanmoins, j'avais été déçu par "United Abominations" au début, et avec le recul je le trouve énorme. Donc j'ai confiance, encore quelques écoutes et j'entendrais mieux les mélodies, car il y a pas mal de chansons bien senties, mais je ne suis pas encore rentré dedans.
On continue dans les leaders mégalos. Nico et Guillaume l'ayant écouté m'ont prévenu : "N'achète SURTOUT pas cet album de gay". Et pourtant, Nico est un superfan de Muse. Trop de RnB, trop de Queen, trop de tout... Mais ayant bien aimé les 2 premiers extraits, je ne peux me résoudre à faire l'impasse. De toute façon, après le choc que m'a fait "Black Holes and Revelations", je n'attend rien d'autre de Muse que du grand n'importe quoi. Et là, je suis très bien servi ! Je ne saurais décrire l'album autrement : du GRAND N'IMPORTE QUOI. Et... ça marche ! j'adore l'album, je me force à ne pas l'écouter pour ne pas m'en lasser, c'est vrai que ça change du trash et du black que je m'envoie depuis un moment, mais c'est quand même super super bien fait. J'adore, j'adhère. Ces mecs sont fous, talentueux tout en piochant à droite et à gauche sans trop s'en cacher : Depeche Mode, Queen, Chopin, Timbaland, Robert Miles... :)
Bref, 2 pochettes bien laides pour 2 disques vraiment bons malgré leurs défauts. Vivement le 28 septembre ! (Alice In Chains, Rammstein, Paradise Lost... MIAM !!!)


Album fantastiquement jouissif, les 8 premiers titres sont des tueris absolues, le son est super aéré et frais (pour du métal, hein), à savoir, pas over triggé au niveau batterie, la basse a une son bien meilleur que sur "Sacrament", Randy Blythe a toujours une voix de dingue... Si je devais vulgariser, je dirais que c'est le PANTERA des années 2000, mais c'est forcément réducteur. Bref, une putain de tuerie
Encore une découverte "Made in Guillaume", que ce fantastique album. J'ai découvert le groupe avec cet album, et ce disque est grandiose ! Sublimé sur tous les titres (sauf le 9e et dernier, un peu en dessous) par l'orchestre symphonique de Prague, les titres sont d'une puissance ENORME. Le son est vraiment énorme et le batteur envoie dans tous les sens. Notament sur un titre qui est un exercice de style du type : blasts/solo de batterie sur fond uniquement orchestre. Un peu démonstratif, mais dans le ton de l'album. Le talentueux Set'h nous envoute avec ses growls (dans la mesure du possible...) tandis que Sothiris se charge des voix claires sur 3 titres monumentaux, dont mon "chouchou" : Anubis. J'adôôôôre ce morceau, il suffit d'une écoute le matin pour que je l'ai en tête jusqu'au soir. Bref, un album singulier, réussi, excellent.

Tempête sous un crâne en ce moment. J’ignore pourquoi, mais je suis obsédé par nos futurs moyens de diffusion, communication, business, etc.
Ce qui nous amène à la solution n°2 : l’indépendance totale, entre suicide financier et gros « FUCK » à tout ce business pourri de merde. Le net est tellement incontournable, après tout, les webzines sont déjà sur ce principe, les magazines ne sont indispensables. La vente directe n’est plus quelque chose dédiée aux loosers, mais un moyen de vendre les albums à très bas prix, sans intermédiaire, de façon à ce que l’acheteur dépense 2 fois moins, et que le groupe récupère tout de suite quelque chose (contre 6 mois d’attentes pour 1 euros de bénef par CD via les labels). Et puis les fidèles de Studio Dust connaissent mon affection pour M6 boutique… Eternelle source d’inspiration.
En étant différents, avant gardistes dans la méthode, avec une bonne musique, un bon visuel, une bonne prod, une bonne vidéo, ça devrait passer… Je suis éternellement optimiste !