Et pas plus tard qu'hier soir, ce miracle s'est encore produit, au détour d'un coup de téléphone que je vous relate :
"- Est-ce que ça t'intéresse de participer à payer un 1/2 page de pub sur tel magazine, j'ai un bon prix, et les gens qui payent les pubs d'habitude n'ont plus trop de thunes, donc là, c'est une chance, j'ai un bon prix, ça vous coûterai dans les 200 euros."
Voilà... Incroyable je vous dis !
Déjà qu'on a enregistré un album qui nous a coûte un bras chacun, on se casse le tronc pour trouver des dates de concerts, organiser de la promo, il va falloir que maintenant on paye les pages de pub !!! Le bras qu'il me reste m'en tombe...
Voilà, en bonne réaction épidermique, j'ai sonné la charge dans le groupe : on n'a plus un radis, on attend des retours de subventions, des livraisons de t-shirts, de CDs à vendre, des dates de concerts, tout un tas de sources potentielles de recettes pour l'association. Mais tant qu'on a plus d'argent, alors basta, on ferme les vannes, plus de contrats, j'irai chercher la presse magazine moi-même, on a juste un PUTAIN d'album à défendre, et comme on dit :
"à coeur vaillant rien n'est impossible"; "vers l'infini et au-delà"
1 commentaire:
surtout qu'il faut des fois payer pour jouer aujourd'hui!!! franchement, investir dans la musique est un puits sans fond, c'est la crise ma pauv' dame....
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